Où est la conscience de ce monde ?
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Le dernier article de Thomas Friedman sur le NewYork Times (1) témoigne sans le moindre doute de cette Chutzpah qui le ronge lui et sa communauté.
Gaza endure d’immenses souffrances, mais demeure résolue. Face à cette épopée héroïque, Amichay Eliyahu, membre du gouvernement de Netanyahou, issu d'une lignée de talmudistes notoires et soutenu par le bloc occidental à genou, a évoqué durant le mois en cours la possibilité de recourir à l'arme nucléaire contre la population courageuse des Gazaouis.
C'est une première, un gouffre abyssal que nul membre d’aucun gouvernement n'avait osé franchir, jetant ainsi une ombre sinistre sur l'enclave palestinienne et le reste du monde. Dans le cabinet de Netanyahou, Eliyahu se dresse comme un exemple monstrueux parmi ces exaltés qui siègent au sein de l’exécutif israélien.
Dans le parti extrémiste Otzma Yehudit, Eliyahu détient le portefeuille du patrimoine au sein de cette assemblée gouvernementale. Interrogé par des journalistes quant à l'opportunité de déchaîner le cataclysme nucléaire, sa réponse résonne comme un écho funeste : "C'est l'une des possibilités," suggère-t-il, selon des propos rapportés par le Times of Israël.
Bien que les déclarations de ce ministre extrémiste concernant l'utilisation de l'arme nucléaire contre Gaza soient d'une gravité incommensurable, elles ont été accueillies par un silence assourdissant de la part d'un Occident acculé, incapable de réagir ou de les condamner de quelque manière que ce soit.
Ces élucubrations yeshiviques invitent à examiner de près l'arsenal nucléaire israélien en lien avec les dirigeants ce même pays qui adhèrent au messianisme talmudique, et les implications que cela pourrait entraîner. Un aspect qui n'est actuellement pas pris en compte dans l'évaluation des possibles répercussions de l'escalade du conflit à Gaza. Il y a deux décennies, lors de la génocidaire guerre contre la résistance hautement légitime, initiée par le président américain George W. Bush et élaborée par les néoconservateurs sionistes, le Premier ministre israélien Ariel Sharon considérait cette entreprise comme une opportunité pour Israël en tant qu'acteur majeur, prêt à entraîner les États-Unis dans cette aventure, y compris une attaque tant souhaitée contre l'Iran, accompagnée d'une nouvelle campagne visant à intimider les Palestiniens restants pour les pousser à quitter leur terre en direction des États arabes voisins.
Israël avait clairement l'intention de recourir à sa capacité nucléaire en cas de nécessité, comme exposé dans le livre de 1991 par l'éminent journaliste d'investigation Seymour Hersh, intitulé "The Samson Option". Le titre du livre évoque la stratégie nucléaire du gouvernement israélien, qui prévoit une réponse nucléaire massive en cas de menace extérieure mettant en péril l'intégrité de l'État. Cette stratégie se réfère à la figure imaginaire de Samson, qui a renversé les piliers d'un temple philistin, provoquant l'effondrement du toit et sa propre mort, ainsi que celle de milliers de Philistins présents pour le voir humilié. (2)
Une source du sérail politique proche des milieux rabbiniques a déclaré à Seymour Hersh : "Nous nous souvenons encore de l'horreur d'Auschwitz. La prochaine fois, nous emporterons tout le monde avec nous." Lorsqu'on lui a posé la question de savoir comment le reste du monde réagirait si Israël venait à utiliser ses armes nucléaires pour anéantir ses voisins arabes, sa réponse fut : "La réaction dépendrait de celui qui prend une telle décision et de la rapidité avec laquelle elle serait mise en œuvre. Nous possédons plusieurs centaines de têtes nucléaires et de missiles, capables de cibler diverses cibles, y compris Rome. La plupart des capitales européennes sont à portée de notre force aérienne."
Dans le même contexte, Moshe Dayan annonça : "Israël doit adopter l'attitude d'un chien enragé, trop redoutable pour être défié. Je peux également vous affirmer que nos forces armées ne se situent pas en 30ᵉ position à l'échelle mondiale, mais plutôt en 2ᵉ ou 3ᵉ position en termes de puissance. Nous avons la capacité de générer un impact mondial significatif, et je peux vous garantir que cela se produirait avant que quiconque envisage la disparition d'Israël."
Le monde, médusé et pétrifié, se trouve au bord de ce qui pourrait vraisemblablement être une menace existentielle, mais cette fois-ci nucléaire. Israël possède un arsenal atomique conséquent (1) qu’aucun responsable Occidental ne peut même pas évoquer, et est actuellement en situation de guerre, tout en étant théoriquement prête à utiliser ces armes, en commençant par Gaza, et très probablement contre tout autre pays, si sa propre sécurité est menacée, risquant ainsi d'entraîner le reste du monde dans le conflit.
En fin de compte, Israël, baignant dans d’un délire talmudique génocidaire, semble avoir rejeté de manière absolue la logique, la raison et le consensus historique, en adoptant une politique de violence extrême envers les Palestiniens en premier lieu, et potentiellement envers le reste de l'humanité dans un second temps.
Qui peut mettre un terme à ce scénario terrifiant, dont le résultat final risquerait de causer d'importants dégâts à notre planète, voire à la planète terre dans son ensemble ?
Dans cette sinistre danse de la roulette nucléaire israélienne, les yeux du monde se fixent avec une anticipation sur la Russie Orthodoxe, une puissance toute aussi apocalyptique, seule capable de défaire ce chien enragé qu'est Israël.
Dans sa plus récente œuvre, "Poutine contre Poutine", (3) Alexandre Douguine appelle le maître du Kremlin à rompre avec l'inertie qui l'enserre et à proclamer haut et fort son opposition dans la pensée et dans l’acte au sionisme, ce mal absolu qui ensanglante notre époque.
Tout cela et dans la plus grande incertitude, affirmant sans détours que le combat en cours appartient en premier lieu aux damnés de cette région du monde, et que nulle autre force ne peut les mener à la victoire.
Âme tourmentée et momentanément asservie ; mais toujours éveillée, la Russie Nouvelle demeure dans l'expectative d'un Alexandre III, dont Poutine ne peut que bien connaître son parcours historique.
Khaled Boulaziz
1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Samson
2) https://fr.wikipedia.org/wiki/Programme_nucl%C3%A9aire_isra%C3%A9lien
Les atroces évènements en cours en Palestine ont révélé non seulement l'inefficacité des régimes arabes et islamiques, mais ont également mis en lumière ouvertement l'échec de leurs sociétés. Ils ont dévoilé une réalité terrible, des positions honteuses, ensevelissant définitivement cette tromperie appelée arabisme.
Au cours de cette épreuve, la Palestine a exposé nos afflictions, déchirant le voile de notre dignité et dissipant complètement notre fierté, tandis que le sang palestinien coule abondamment sous les mains des créatures les plus impures qui existent. Nous sommes décédés, mais les défunts méritent davantage de chevalerie, d'honneur et de respect.
Où sont les rues arabes qui s’animent lors d'un festival de musique, pour un chanteur dérisoire ? Où sont les partisans islamiques qui se rassemblent pour un match de football ordinaire ? Pourquoi les peuples ont-ils détourné leur regard de la Palestine massacrée devant eux, ignorant sa souffrance, à l'exception de ceux qui, par la grâce de Dieu, ont ressenti de la compassion ?
La chevalerie arabe et islamique brillent par leur absence alors que les enfants de la Palestine sont déchiquetés par les bombes de l'occupation diffusées en direct à la télévision. Où est leur dignité, s'il en reste, lorsque les avions sionistes détruisent les foyers de nos sœurs palestiniennes au-dessus de leurs têtes ? Le monde hésite à leur porter secours, et nous les avons abandonnées avec notre lâcheté habituelle et notre histoire contemporaine de trahison et de méchanceté.
Nonobstant la Palestine écrit aujourd’hui un chapitre héroïque et poignant de l'histoire du monde, où la résistance épique de ses fils s'est élevée contre les forces maléfiques des sionistes, connus tristement comme les éternels génocidaires depuis la nuit des temps. Ce soulèvement témoigne de la détermination indomptable d'un peuple opprimé à se battre pour sa dignité et sa liberté, malgré les circonstances les plus sombres.
Malgré la disproportion des forces, les combattants de Gaza opposent une résistance farouche, utilisant des tactiques de guérilla pour ralentir l'avancée des troupes sionistes. Les rues étroites et labyrinthiques de la ville ont été transformées en champs de bataille, où chaque maison, chaque recoin de rue, est devenu un point de résistance.
Au fil des semaines, le soulèvement de Gaza est un témoignage vivant de la force de la résilience humaine face à l'adversité. Les combattants du Hamas laisseront un héritage indélébile, rappelant au monde que même dans les moments les plus sombres, la lumière de la résistance peut briller avec une intensité inégalée.
Cette insurrection, au-delà de son impact militaire et les souffrances terribles de toute une population, est un phare moral dans un monde en dérive. Ce soulèvement héroïque n’est nullement un acte de désespoir face à l'oppression, mais le point de départ d'une délivrance mondiale des griffes des criminels sionistes.
Alors que le monde était dans sa torpeur, le soulèvement de Gaza a agi comme une sonnerie d'alarme, éveillant les consciences endormies face à l'ampleur des atrocités de toujours de l’entité sioniste. Les Palestiniens, avec leurs moyens modestes, mais leur détermination inébranlable, symbolisent la résistance face à un mal incommensurable.
Le soulèvement de Palestine jouera dans les semaines, les mois prochains un rôle crucial en mettant en lumière la nécessité d'une action internationale contre Israël et en soulignant l'importance de l'unité pour combattre le totalitarisme. Il est le catalyseur émotionnel qui a galvanisé les esprits du monde entier, servant de rappel poignant que l'humanité partage une responsabilité collective dans la prévention du génocide et de l'injustice.
La délivrance, tant attendue et nécessaire, a commencé à prendre forme à mesure que les peuples du monde entier ont intensifié leurs efforts pour mettre fin à la tyrannie sioniste. Le soulèvement de Gaza, par sa symbolique puissante, a contribué à forger une alliance internationale contre le mal absolu incarné par les sionistes.
Khaled Boulaziz
Le dernier message d’Alexandre Douguine, posté sur son compte Twitter, a semé un grand trouble au sein des salles de rédaction du monde entier. Dans cette communication, la figure influente et l’âme du Kremlin, nous éclaire sur la position des dirigeants russes, une posture clairement ancrée en faveur de la cause palestinienne. Dépeindre l’un des scénarios potentiels d’intensification des tensions au Moyen-Orient, c’est, à ses yeux, affronter les horreurs de la destruction et de la mort. Dans ce qui suit, il nous expose son analyse et vision des événements à venir.
« Face aux odieuses exactions perpétrées par les sionistes, une insurrection palestinienne éclate en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Fatigué et au crépuscule de sa vie, Mahmoud Abbas laisse déferler la colère de son peuple, tandis qu’Israël poursuit un génocide à grande échelle dans la bande de Gaza. L’armée israélienne, au sein d’une spirale infernale, en poursuivant ses forfaits abjectes contre les civils à Gaza, génère une vague de protestations sans précèdent à l’échelle mondiale contre les élites libérales occidentales qui, sans équivoque, se sont rangées derrière Israël.
Le Hezbollah fait son entrée en scène, tandis que la population de la Jordanie brise les barrières frontalières avec l’entité sioniste. Les États-Unis, dans leur stratégie de prévention, déclenchent des frappes contre l’Iran, dont l’implication croissante dans le conflit ne saurait être ignorée. Celle-ci réplique en direction d’Israël. La Syrie se lance dans le conflit en attaquant le Golan. Progressivement, un élan se propage au sein du monde islamique, un élan qui transcende les frontières et les divergences internes.
Les États du golfe, bien que sous l’influence américaine, se voient contraints de se joindre au camp palestinien : l’Arabie Saoudite, les Émirats Arabes Unis, le Qatar, rapidement rejoints par le Pakistan, la Turquie, et l’Indonésie. La rumeur selon laquelle des troupes talibanes sont déployées au Moyen-Orient prend soudainement une tournure tangible. Les bannières du croissant vert s’élèveront au-dessus du globe, unifiant temporairement les antagonismes d’un islam aux multiples facettes, y compris les chiites, face à l’ampleur des événements.
Ainsi se déploie la vaste confrontation du monde islamique contre l’Occident et Israël, orchestrée par des puissances qui transcendent les lignes de fracture internes. Celle-ci engendre une dynamique à la fois découplée et tragique, où acteurs internationaux et régionaux s’entrelacent dans un jeu complexe d’alliances.
Dans un premier temps, la Russie, déjà engagée dans un conflit en Ukraine contre l’Occident, lequel s’est résolument aligné aux côtés d’Israël, oscillant entre neutralité et hésitation à un quelconque camp. À un moment donné, au cours de l’insurrection à Jérusalem-Est, les Palestiniens proclament la nécessité d’établir un cordon de protection autour de la mosquée Al-Aqsa, afin de la préserver des forces de défense israéliennes (IDF). Cette mosquée avait déjà été mentionnée au début de l’insurrection dans la bande de Gaza, désignée sous l’énigmatique libellé de « Déluge d’Al-Aqsa ». C’est dans ce contexte tendu que, dans le cadre de sa lutte contre le Hamas et au nom de la légitime défense, Israël déclenche une attaque de missiles contre la mosquée, entraînant son effondrement. Ainsi s’ouvre le chemin vers l’édification du Troisième Temple.
Suite à cela, un milliard de musulmans, dont 50 millions résident en Europe, se soulèveront en Occident. Une guerre civile éclate en Europe. Certains Européens se rangent du côté de Soros et des élites atlantistes, tandis que d’autres forment une alliance avec les musulmans, et se joignent à la révolution anti-libérale.
Les États-Unis recourent à des armes nucléaires tactiques contre l’Iran, tandis que la Russie lance une frappe atomique contre l’Ukraine, qui cherche désespérément à s’accrocher à l’Occident à tout prix et provoque Moscou de toutes les manières possibles. La Troisième Guerre mondiale éclate, marquée par l’utilisation d’armes de destruction massive.
Enfin, la Russie prend une position sans équivoque de solidarité avec le monde musulman, tandis que les évangélistes américains, guidés par une révélation soudaine, prennent conscience de l’heure tragique qui sonne pour eux. La Russie, d’une manière indirecte, mais implacable, engage une action contre Israël, adoptant une vision qui stigmatise l’Occident comme étant soumis à l’emprise directe de l’Antéchrist.
Un nombre considérable de dirigeants mondiaux périssent, laissant la place à de nouvelles figures, souvent plus radicales dans leurs convictions. Dans cette tourmente, la Chine lance son attaque contre Taïwan, détournant ainsi l’attention des États-Unis et de l’OTAN vers une nouvelle cible, tandis que l’Inde décide de s’abstenir de s’engager directement aux côtés des U.S.
Le crépuscule de l’histoire se déploie désormais sous l’urgence palpable de la situation. Au sein de cette tourmente, les voix s’élèvent, celles des féministes, des militants LGBT et des défenseurs de l’environnement, qui réclament avec ardeur la fin de cette spirale infernale. Leurs plaidoyers restent sans écho, car l’Occident se trouve dorénavant contraint de lutter contre une myriade d’adversaires, à la recherche d’un objectif qu’il peine à préciser. Les thèmes jadis prédominants, tels que les droits de l’Homme et la société civile, se seront désormais engloutis par la réalité implacable d’une annihilation totale qui se profile à l’horizon. »
Alexandre Douguine, son cœur encore meurtri par la tragique perte de sa fille unique, emportée par l’hydre terroriste, n’a fait qu’effleurer la complexité de la situation qui prévaut au Moyen-Orient, en saisissant seulement une mince partie de ses innombrables ramifications. Pourtant, dans cette analyse, se révèle une vision d’une clarté cristalline qui transcende le simple scénario qu’il dépeint. Elle nous dévoile que, bien que les événements qu’il évoque puissent rester à jamais confinés dans le domaine des conjectures, le monde a déjà revêtu sa parure multipolaire.
Dans ce tableau ciselé où les alliances se façonnent, la Russie orthodoxe a déjà fait son choix pour la prochaine grande guerre, imminente et inévitable. Elle se tourne vers le monde musulman, scellant avec lui une union profonde qui dépasse les frontières et les antagonismes.
En comparant le siège de Gaza à l’épisode de Leningrad de 1941, où la résistance héroïque des Russes marqua le commencement de la chute du IIIe Reich, le maître du Kremlin, Vladimir Poutine, semble défier l’Occident et sa puissante armée décidés à soumettre le peuple palestinien. Il sous-entend même que Gaza pourrait devenir le tombeau de l’Occident et de son arrogance démesurée.
Khaled Boulaziz
Hier, sous le voile sombre de la nuit, l'Agence des Nations Unies pour les Réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a dévoilé une terrible et cruelle tragédie. Sans l'ombre d'un avertissement pour les déplacés ni pour l'UNRWA, Israël a bombardé une école dans le camp de Nuseirat, en plein…
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